Des discussions des parties prenantes autour des questions d’intérêt communautaire

 « À grands maux grands remèdes » dit-on, surtout quand il devient impérieux de prendre à bras le corps une situation qui suscite une inquiétude majeure. Oui, quand un phénomène social tend à dégénérer au point d’engendrer des conséquences extrêmement graves, des intervenants de tous bords regroupés autour d’une cause commune cherchent à tout prix et en toute urgence à mettre en place des stratégies ou mécanismes adéquats pour la prévention ou tout simplement la réponse à la question pour l’intérêt commun.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet pilote « CHILD VOICE OUT » centré sur la lutte contre les violences sexuelles contre les enfants, vu la persistance ou recrudescence des cas de ces types de violences, rassembler autour d’une table différents acteurs impliqués à différents niveaux dans la noble mission d’assurer la protection des enfants s’est avéré une des meilleures stratégies. Une conférence avait donc été organisée dans le camp de réfugiés de NYANKANDA, en province de Ruyigi-Burundi sous le thème interpellateur : « LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS - Y A-T-IL LIEU DE FAIRE MIEUX ? ».